top of page
  • Photo du rédacteurFlying Butterfly

Les gilets jaunes, jusqu'à quand ?

Dernière mise à jour : 17 sept. 2020

Peut-être que les gilets jaunes devraient aller faire un stage au Liban, en Syrie, au Yemen, en Biélorussie, en Irak, en Iran, en Palestine et tant de pays en Afrique, en Amérique Latine et même aux États-Unis ou à Londres. Ils se rendront compte de ceux qu'ils ont et de tout ce que les autres n'ont pas. Mais bon, râler est dans la nature des français, même si effectivement la pauvreté augmente. Mais un mouvement qui dure depuis deux ans, avec des mesures déjà prises par le Gouvernement, jugées insuffisantes et un chômage en forte augmentation malgré les milliards injectés dans l'économie ne sauraient être réglés par des gilets jaunes qui paralysent le pays depuis deux ans, phagocytés par des casseurs ignobles. Dénoncer les violences policières est une chose, piller et casser pour rien en est une aussi. Des commerces saccagés et ruinés, des voitures brûlées, des chantiers défoncés au nom de la justice sociale.

Est-ce cela la démocratie ?






Ce samedi 12 septembre marque la rentrée du mouvement des Gilets jaunes, après une longue pause. Deux manifestations étaient notamment prévues à Paris, l'une au départ de la place de la Bourse, au centre de la capitale, l'autre au départ de la place Wagram, à l'ouest. Deux cortèges ont, en revanche, été interdits de manifester sur les Champs-Élysées. Les deux manifestations ont donné lieu à quelques heurts. Les Gilets jaunes se sont finalement dispersés vers 18 heures. Au total, 8 500 personnes ont manifesté dans toute la France, dont 2 500 à Paris, selon le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin. « Ces manifestations ont pu se tenir dans un calme qui permet à l'ordre républicain d'être tenu », a-t-il déclaré. À 20 heures, 287 personnes avaient été interpellées (dont 275 dans la capitale) et selon le parquet de Paris, 147 personnes étaient en garde à vue.

Arrivé peu après 10 heures, l'humoriste Jean-Marie Bigard a été fraîchement accueilli par des huées « Bigard, collabo ! » Ce soutien médiatique des Gilets jaunes s'est désolidarisé cette semaine d'une des figures du mouvement, Jérôme Rodrigues, qui avait assimilé les policiers à « une bande de nazis ». Chahuté, insulté, Jean-Marie Bigard s'est réfugié un moment dans un restaurant de la place, expliquant qu'il s'agissait d'une « mauvaise interprétation ». « Pendant un moment, les gens ont cru que je les lâchais, ce qui est faux, c'est tout », a-t-il expliqué à la presse.(...) Lire la suite


Voir aussi

"Gilets jaunes" : environ 6 000 personnes ont manifesté dans toute la France, dont 2 500 à Paris, annonce Gérald Darmanin sur France Info en cliquant ici


La manifestation en Live le 12 septembre 2020



Appel des Gilets jaunes à se mobiliser : «La colère ne sera pas que "Gilets jaunes", mais citoyenne»


Le numéro un du PCF Fabien Roussel a dit samedi soutenir "les revendications des "gilets jaunes" dont beaucoup "n'ont jamais été véritablement satisfaites", le coordinateur de LFI Adrien Quatennens, présent place Wagram à Paris, soulignant qu'ils réclament "la justice sociale".

"Bien sûr, je soutiens leurs revendications parce qu'elles n'ont jamais été véritablement satisfaites de la part du gouvernement. Il y avait une forte demande en matière de pouvoir d'achat, de hausse des pensions pour les retraités, de hausse des salaires. Or, il y a pas eu de satisfaction de ce côté-là", a estimé Fabien Roussel sur BFMTV. Lire la suite en cliquant ici


32 vues0 commentaire
bottom of page